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Christophe Gabriel, artiste peintre, painter, artist, Paris



















Peintre décorateur,cours de peinture Atelier Christophe GABRIEL
Peintre en décor

ATELIER DE CREATION ET DE FORMATION ARTISTIQUE
COURS A L'ATELIER
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Cours de sculpture à Paris

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ATELIER  DE CREATION de peinture-murale, fresque intérieure et extérieure. Réalisation en mur peint ou sur toile à maroufler.
compositions originales et Copies d'oeuvres existantes ...

FORMATION aux techniques de la peinture, détrempe,

cire,huile,acrylique...Cours de peinture à Paris, Cours de dessin à Paris , peinture et modelage.
Préparation aux concours des écoles d'art, plus particulièrement à l'INP (IFROA), MST restauration de peinture. Formation professionnelle destinée aux décorateurs et aux restaurateurs dans le domaine de la création et la restitution de peinture-murale et fresque.


Cours de dessin Décoration murale

ATELIER DE CREATION DE PEINTURE-MURALE ET FRESQUE

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Peinture portrait

Peintre décorateur

ATELIER CHRISTOPHE GABRIEL Atelier N°51 17 rue du Javelot 75013 Paris  Tel: 01 45 85 77 77


DESCRIPTIF DE L'ATELIER  :
Création
 et restauration  de peintures murale,fresque,tableaux,trompe l'oeil,panoramique.L 'atelier réalise des murs peint et de la décoration ornementale.L'atelier de création et restauration de peinture-murale,fresque se situe à Paris (idf France Europe).

En création de peinture-murale, fresque: L'atelier propose de la conception à la réalisation du projet sur le site.Toutes les techniques de peinture-murale sont pratiquées. De la fresque sur enduit de chaux, la détrempe technique à la tempéra, la peinture à l'huile,l'acrylique et les techniques avec des résines modernes (alkyde)...les réalisations vont du trompe l'oeil,le panoramique,le paysage, des scènes avec des personnages (scènes historiées).Les murs peint,panoramiques,trompe l'oeil,fresques,peinture-murale s'intègrent aussi bien dans les appartements privés que dans les batiments publics.La peinture-murale se réalise aussi sur les plafonds (plafond peint).Pour la composition nous pouvons créer un sujet original ou reprendre une peinture-murale,fresque ancienne.
En restauration,restitution de peinture-murale,fresque: L'atelier s'occupe de la restauration-restitution de décors peints (peinture-murale) quel que soit la technique, ancienne ou moderne:fresque,huile,détrempe,acrylique.... (Restaurateur,restauratrices intervenants)
Copies de tableaux: Réalisation de copies de peinture ,tableaux de toutes le époques. et de tout format.
Oeuvres originales: Réalisation de portrait d'après modèle,paysage,nu,nature-morte...

Cours de peinture: L'atelier dispense des cours de peinture à Paris, cours de dessin à Paris ,cours de sculpture à Paris  cours collectifs et en formation professionnelle.Préparation aux écoles d'art et de restauration INP (IFROA),MST,Ecole d'Avignon.
Les techniques abordées sont :la cire encaustique,la détrempe,la tempéra,la technique mixte,l'huile, l'acrylique,les résines modernes tel que l'alkyd.Les stages de formation professionnelle concernent la fresque, la peinture murale aussi bien à détrempe,tempéra,huile...
Les cours se déroulent à l'atelier par groupe de 6 personnes


COURS DE DESSIN et PEINTURE


Les cours de peinture et de dessin se déroulent par petits groupes permettant un suivi individualisé.Sont organisés aussi des stages de formation professionnelle .Enseignement de la peinture et du dessin à partir de modèle vivant ou par l'apprentissage par la copie des maîtres. Les cours et stages sont à destination de personnes voulant intégrer les domaines de la décoration et de la restauration de peinture.La séance de dessin ou peinture dure 3 heures et se déroule dans un atelier à Paris 13 ème arrondissement.

Étude progressive du dessin et de la peinture basé sur l'observation, et la copie de tableaux.. Préparation aux concours d'entrée aux écoles supérieures d'art par un enseignement académique.

Les cours de peinture et dessin ont lieux à l'atelier par petits groupes.Il s'adressent à des personnes très motivées (même débutantes).L'apprentissage du dessin est un exercice quotidien et les cours ne permettent que d'aider l'élève à recentrer sa pratique vers l'essentiel.Sont organisés aussi des stages de formation professionnelle à destination de personnes voulant intégrer les domaines de la décoration et de la restauration de peinture.


Formation en dessin et peinture à Paris.elle s'adresse à des personnes très motivées (même débutantes).L'apprentissage du dessin est un exercice quotidien et les cours ne permettent que d'aider l'élève à recentrer sa pratique vers l'essentiel.



Historique:

Il est bon de rappeler brièvement comment se situe la peinture murale "fresque" dans l’art monumental. Il y a lieu en effet de distinguer un art simplement décoratif, comme par exemple la décoration d’un simple panneau peint dans une chapelle, d’un art réellement monumental, dans lequel la peinture murale "fresque" fait partie intégrante de l’architecture de l’édifice, au même titre que les sculptures, les chapiteaux, etc. C’est le cas notamment à l’époque romane où, l’architecture étant, pour des raisons techniques, relativement massive, c’est-à-dire pourvue de très peu d’orifices, il devint important de décorer tous les murs par des peintures, tradition héritée des romains, mais qui se développe et prend sa personnalité propre dans l’art roman, pour atteindre son apogée vers les 11e/12e siècle, avec des édifices comme St Savin, qui en est le témoignage le plus significatif parvenu jusqu’à nous. A l’époque gothique, l’ouverture des baies résultant de l’évolution de l’architecture avec l’invention de la voûte d’ogives, laisse de moins en moins de place à ces importantes zones murales pouvant recevoir des décors peints, généralement au profit de vastes baies vitrées, bientôt décorées elles aussi par un art spécifique : le vitrail. Néanmoins, certains édifices continuent à recevoir des peintures de qualité qui peuvent, comme à la cathédrale d’Albi, recouvrir toute la surface laissée libre par les baies vitrées. On trouve ainsi un certain nombre de peintures ornant notamment les chœurs de cathédrales de Narbonne, Clermont-Ferrand, et bien sûr Angers, que nous verrons en détail plus loin.

A la Renaissance, le goût pour l’Antiquité amène les artistes à décorer de nombreux édifices, surtout civils, en particulier un certain nombre de châteaux célèbres, comme celui de Fontainebleau. Au 17e siècle, on trouve encore de grands décors peints dans un certains nombre d’édifices religieux, comme le Val de Grâce, mais au 18e on assiste d’avantage à la réalisation de décors plutôt que d’un art spécifique de peinture murale. Au 19e siècle enfin, de nombreux édifices font l’objet d’une décoration murale, soit religieux (les églises parisiennes notamment, et en particulier l’église St Sulpice avec les peintures de Delacroix, que nous retrouverons plus loin), soit civils, généralement institutionnels, (palais de justice, ou encore la Sorbonne avec Puvis de Chavannes). Quant au 20e siècle, il est difficile de parler d’une tendance générale de l’art mural, étant donné l’éclatement des courants artistiques contemporains et des styles, mais nous verrons néanmoins quelques exemples de ce que l’on peut rencontrer dans ce domaine.

Les techniques d’exécution sont étroitement liées aux époques et à la situation de l’art mural dans celles-ci. Ainsi, l’artiste de la Renaissance s’appliquera à respecter scrupuleusement les règles de la peinture à fresque, héritée des Anciens, et qu’il aura apprises dans les divers traités, disponibles à son époque ; l’artiste du 19e siècle, tel Delacroix, nous le verrons, utilisera les dernières trouvailles de l’industrie chimique naissante pour expérimenter, avec plus ou moins de bonheur, des techniques ou des produits nouveaux ; l’artiste du Moyen Age peint avec ce qu’il a : terres, liants d’origine végétale ou animale, technique plus ou moins maîtrisée, mais inspirée de l’Antiquité, etc.

Article d'origine: http://www.culture.gouv.fr


 C’est dans le courant du 14e siècle que l’usage de l’huile commence à prendre une certaine importance dans la peinture murale (bien que l’idée reçue la plus répandue, concernant la peinture de chevalet, où l’usage systématique de l’huile est réputé apparaître, ou tout au moins se généraliser vers 1430 avec Van Eyck). Cet usage est attesté par plusieurs auteurs, en France on l’a vu, mais aussi en Angleterre [14] à la cathédrale d’Ely (1325-1358), en Catalogne à la chapelle de Petralbes, ainsi qu’en Italie, où Cenini décrit avec précision la technique pour peindre à l’huile sur un mur. Un document de 1325 des archives de Turin décrit même une tentative d’utilisation de l’huile de noix ; nous verrons par exemple que c’est précisément de l’huile de lin qui a, selon toute vraisemblance, été utilisée pour les peintures de la cathédrale d’Angers, qui datent de la même période, comme le montre une étude récente du LRMH*. On trouve d’ailleurs une autre caractéristique de ces peintures dans d’autres édifices de la même époque, à savoir l’exécution directement sur la pierre.

Evolution de la technique au 14e siècle

Comme cela a été déjà évoqué, l’évolution de la technique picturale se fait parallèlement à celle de l’esthétique, dont les règles sont bouleversées à cette époque, notamment par Giotto. Pour résumer cet important phénomène, on peut dire que l’évolution de l’esthétique, qui prend en compte des recherches spatiales de plus en plus complexes, qui acquière par ailleurs une plus grande liberté dans le mouvement et le style, au lieu de se cantonner dans des schémas stylistiques rigides comme ceux de la peinture byzantine, nécessite une plus grande complexité dans la mise en place, la préparation et l’exécution des scènes. Les étapes nécessaires à cette élaboration augmentent, rendant nécessaire et systématique un usage de la sinopia de plus en plus poussé. On observe donc toujours : un usage généralisé de la sinopia, un découpage de grandes surfaces en pontate et giornate, et une finition plus ou moins importante à la détrempe.

Article d'origine: http://www.culture.gouv.fr

La renaissance
L’évolution mentionnée pour le 16e siècle se poursuit, surtout en Italie, toujours parallèlement à l’évolution esthétique, qui on le sait, est considérable à la Renaissance avec le développement de la perspective, et la liberté des compositions, l’agrandissement des dimensions des scènes peintes. Cette évolution engendre la nécessité de préparer d’abord une esquisse à petite échelle sur papier, puis un agrandissement de celle-ci sur le mur pour la mise en place de la composition. On a donc une évolution, allant vers la disparition progressive de la sinopia, et l’on voit apparaître la mise en place au poncif, c’est-à-dire avec un poinçon à partir de calques, dont on peut observer les traces sur de nombreuses peintures de cette époque. On assiste donc à une rupture avec la technique précédente, puisqu’il y n’y a plus de mise en place in situ de la composition : la technique d’exécution va donc évoluer en conséquence, même si cette rupture s’est faite en réalité de façon continue, et que l’on peut observer pendant toute une période de nombreuses variantes intermédiaires


Le XVIe siècle

Pour résumer cette époque, on peut dire qu’on assiste, en Italie puis ailleurs, à une rivalité entre la fresque et les nouvelles techniques à l’huile, techniques donnant aux artistes des possibilités nouvelles pour le traitement des volumes, des nuances, modelés, etc. Face à cette concurrence, certains artistes, comme Michel-Ange [18] et Raphaël, pousseront l’art de la vraie fresque à la limite de ses performances, mais peu à peu l’usage des techniques à l’huile influencera les artistes, et on verra de plus en plus se répandre les nouvelles techniques ; de nombreux édifices seront désormais décorés à l’huile.

Article d'origine: http://www.culture.gouv.fr

Liens:

Peinture-murale.com
http://christophe-gabriel.artblog.fr/
http://dessin-de-nu.blogspot.com/



Peinture académique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La peinture académique (v.1830-1880) est la peinture produite sous l'influence d'une Académie des beaux-arts ou, par extension, sous l'influence d'une institution équivalente organisant le système des Beaux-Arts.

Cours de peinture
Pollice Verso (1872), par Gérôme
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Les Romains de la décadence (1847) par Couture

Le plus souvent, en histoire de l'art notamment, l'expression peinture académique recouvre les courants qui, après le Néoclassicisme et après l'apogée du Romantisme, dominent la peinture occidentale du milieu du XIXe siècle, sous l'influence des Académies d'Europe dédiées aux Beaux-Arts et en particulier de l'Académie des Beaux-Arts de Paris, alors la plus rayonnante. Ainsi, parmi les artistes emblématiques de la peinture académique, figurent les peintres français du Second Empire, Alexandre Cabanel, William Bouguereau et Jean-Léon Gérôme.

L'académisme est caractérisé par un goût très fort pour les thèmes historiques et le goût pour l'orientalisme. La peinture académique emprunte au néoclassicisme de David ou d'Ingres sur le plan thématique, stylistique autant que technique (glacis). Pour ses détracteurs comme Émile Zola, cet art est par ailleurs empreint du moralisme bourgeois de son époque[réf. souhaitée] et d'un sens jugé hypocrite de l'érotisme[réf. souhaitée] à l'inverse de Renoir qui était présenté comme un artiste plus authentique.

L'application du mot « pompier » à l'art académique, apparue au XIXe siècle (1888 d'après le Robert) pour le tourner en dérision, est sans doute une allusion aux casques brillants de certains personnages des grandes compositions de l'époque, qui rappelaient ceux des sapeurs-pompiers. Certaines sources proposent l'hypothèse d'une dérision du mot « Pompéin » (de Pompéi). Enfin, ce mot évoque la pompe, le pompeux.

Sommaire

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L'Académie et son enseignement[]

La création des académies[]

L'Académie royale de peinture et de sculpture fut créée en 1648, par Louis XIV dans le but de garantir aux peintres et sculpteurs le statut d'artiste qui leur était alors contesté. Le peintre Charles Le Brun en prend la direction. Les Académies prônent alors une méthode radicalement nouvelle d'enseignement des Beaux-Arts. Celle-ci érige les œuvres de l'antiquité gréco-romaine pour modèle et reposent essentiellement sur un concept dont les mots clés sont simplicité, grandeur, harmonie et pureté.

L'Académie se compose alors de deux sections : l'Académie de peinture et de sculpture, et l'Académie d'architecture. L'anatomie, la géométrie, la perspective et l'étude d'après le modèle vivant constituaient les bases de l'enseignement préparatoire à la peinture et à la sculpture.

L'enseignement de l'académie repose sur certains principes fondateurs :

Ces principes se sont progressivement figés avec le temps[réf. nécessaire] et ont fini par constituer un carcan aux yeux de certains artistes et critiques de la fin du XIXe siècle contre lequel ils se sont insurgés peu à peu. L'académie pourvoyait donc à la formation technique (apprentissage du dessin, de l'anatomie, de la couleur...) et culturelle (familiarisation avec les sujets de l'antiquité, les grands auteurs...) des jeunes artistes. Les candidats à l'entrée à l'école des Beaux-Arts (les femmes n'y sont admises qu'en 1897) doivent passer un concours d'admission consistant en l'exécution d'une figure nue dessinée d'après le modèle vivant.

Le contrôle de l'Académie[modifier]

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, se cristallise une opposition qui va profondément marquer toute l'histoire de l'art du XXe siècle : celle de l'académisme et de la "modernité", terme lancé par Baudelaire. Les avant-gardes n'ont pu s'imposer, très lentement[réf. nécessaire], qu'en bousculant l'art officiel. Les peintres académiques leur ont résisté de toutes leurs forces[réf. nécessaire]. Ils en avaient les moyens, car ils régnaient sur l'Académie des Beaux-Arts, à l'Institut, au Salon, longtemps lieu de passage obligé pour exposer, se faire connaître et obtenir des commandes de l'État. « Contrôlez l'instruction, vous contrôlerez le style », disait le peintre académique Gérôme[réf. souhaitée]. Le second Empire assimila d'abord le naturalisme de Millet (honoré cependant d'une médaille au Salon de 1864) ou, plus encore, de Courbet au socialisme : Courbet passait à leurs yeux pour le peintre du laid, ou du néant, car ses œuvres semblaient dépourvues de signification.

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Jean-Léon Gérôme Jeunes grecs faisant battre des coqs (1847), Musée d'Orsay, Paris

Loin du Salon[]

Les novateurs durent exposer et se faire connaître en dehors des institutions, des récompenses et des commandes officielles. Ce ne fut pas par choix, mais par obligation. C'est au Salon, où se pressaient artistes, mondains et critiques, qu'ils auraient voulu triompher. Seulement le jury du Salon était nommé par l'Académie des Beaux-arts, avant de se voir en partie coopté par les artistes reçus eux-mêmes au Salon. En 1855, Gustave Courbet fit ériger le "Pavillon du Réalisme" en face de l'Exposition universelle où certaines de ses toiles n'avaient pas été acceptées. En 1863, tant de toiles furent refusées au Salon que, dans un souci d'apaisement, Napoléon III autorisa l'ouverture d'un salon parallèle. Le Salon des refusés était né. Le Déjeuner sur l'herbe permit ainsi à Manet de se faire connaître par un succès tout de scandale. Les critiques étaient choqués et irrités tant par le fond que par la forme. Manet ne mettait la nudité de la chair au service d'aucune convention mythologique ; il accordait au jeu de l'ombre et de la lumière infiniment plus d'importance qu'au dessin. En 1874, quelques artistes, dont Monet, Renoir, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Frédéric Bazille organisèrent une exposition dans l'atelier du photographe Nadar. Quelques critiques d'art et publics ne virent dans leurs toiles que les œuvres de fous et de daltoniens. Les journaux multiplièrent les caricatures et les railleries. Dans le Charivari, Louis Leroy se moqua en ces termes de la toile de Monet Impression, soleil levant, représentant le port du Havre : « Impression, j'en étais sûr. Je me disais aussi, puisque je suis impressionné, il doit y avoir de l'impression là-dedans. » A vrai dire, rappelle Pascale Bertrand, le mot "impression" était déjà depuis une quinzaine d'années au centre de toutes les conversations, dans les ateliers ou les cafés. Dès le début des années 1880, chacun des impressionnistes préféra explorer sa propre voie. C'est, estime Marina Ferretti-Bocquillon, qu'ils étaient soudés par l'ambition d' « inventer une expression objective de la vie moderne », et que la bataille était déjà gagnée. Cézane, en particulier, préfèrait depuis ses débuts la permanence à la fluidité de l'univers impressionniste (« j'ai voulu faire de l'Impressionnisme quelque chose de solide et de durable comme l'art des musées », dira-t-il). À la huitième et dernière exposition impressionniste, en 1886, il n'exposa pas, pas plus que Monet, Renoir, et Sisley. Seurat et Paul Signac étaient là, en revanche. L'histoire du post-impressionnisme commençait, conclut Ferretti-Bocquillon.

Défaite et évolution de l'académisme[]

L'année 1897 entérina la défaite de l'Académisme. Manet, Degas, Pissarro, Monet, Renoir, Sisley et Cézanne firent en effet leur entrée dans une institution officielle, le musée du Luxembourg, réservé aux commandes de l'État. Le legs Caillebotte, mécène des impressionnistes, collectionneur et peintre lui-même, était enfin accepté, après trois années de combats acharnés (seuls les tableaux de Degas avaient d'abord été admis). C'est le Conseil d'État qui avait tranché, arguant que ces œuvres faisaient de fait partie de l'histoire de la peinture française. En réalité, on avait coupé la poire en deux : sur 67 toiles, 29 furent rejetées. Gérôme avait pourtant menacé de démissionner de sa chaire de professeur des Beaux-Arts, qualifiant ces toiles d' "ordures", et voyant dans leur entrée au Luxembourg le signe de «la fin de la nation ». C'est qu'un nouveau public s'était formé, avide d'innovations formelles plutôt que de confirmation des codes établis. Les courants avant-gardistes se multipliaient. L'Académie et l'École des beaux-arts elles-mêmes devinrent plus éclectiques, note Claire Barbillon. Après avoir été rejeté sous le second Empire, sauf sous certaines formes édulcorées, « le naturalisme fut adopté par les peintres les plus officiels de la troisième République », écrit-elle. Quant au symbolisme, il réunit « des artistes formellement assez traditionnels », comme Gustave Moreau, et des peintres radicalement novateurs comme Gauguin ou Odilon Redon. Le Salon des Indépendants (1884), puis le Salon d'Automne (1903), bousculèrent le monopole du Salon officiel. L'apparition d'un véritable marché de l'art et des galeries, souvent dirigées par des amateurs des nouveaux courants, permit aux artistes de vendre leurs œuvres sans passer sous les fourches caudines du Salon et des commandes officielles. En 1899, les tableaux de Cézanne rencontrent enfin le succès, lors d'une vente à la galerie Georges Petit. En 1900, l'impressionnisme triomphe à l'exposition centennale de l'Art français. La rétrospective Van Gogh organisée en 1901 par la galerie Bernheim-Jeune marque fortement Maurice Vlaminck, qui s'exclame qu'il aime mieux Van Gogh que son père ! La même année, Picasso expose chez Ambroise Vollard. En 1905, Marquet, Matisse, Derain et Vlaminck exposent ensemble au Salon d'Automne. L'histoire bégaie : le nom de "fauves" qui leur est alors donné a pour origine l'exclamation railleuse d'un critique.

L'ouverture du musée d'Orsay en 1986 sera l'occasion de vives polémiques. Beaucoup y verront une réhabilitation des "pompiers", voire du "révisionnisme". André Chastel considérait cependant dès 1973 qu'il n'y avait « que des avantages à substituer à un jugement global de réprobation, héritage des vieilles batailles, une curiosité tranquille et objective. »


Peinture à l'huile

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La Joconde, Leonard de Vinci, vers 1503-06.

La peinture à l'huile est une technique picturale, qui utilise un mélange de pigments et d'huile siccative (le liant ou véhicule), permettant d'obtenir une pâte plus ou moins épaisse et grasse. Cette pâte s'applique à l'aide de brosses sur un support en toile apprêtée montée sur un châssis, ou marouflée sur un panneau rigide. D'autres supports sont aussi utilisés comme le carton ou le bois. Plusieurs types de diluants et de médiums à peindre sont employé pour en faciliter l'application, ou modifier sa texture.

Apparue à la fin du Moyen Âge en Occident, les primitifs flamands en généralisent son usage qui supplante la technique de la tempera. Au fil des époques, la technique de la peinture à l'huile va connaître des changements liées aux progrès technique et aux évolutions esthétiques. D'une technique reposant principalement sur la superposition de glacis, telle que la pratiquaient les flamands et les florentins, la peinture à l'huile évolue vers une technique plus en pâte, enrichie à l'aide de médiums résineux et caractéristique des écoles hollandaise (Rembrandt, Rubens, Hals) et Vénitienne (Titien, Tintoret) puis des impressionnistes qui sont les premiers artistes à employer la peinture en tube apparue avec l'industrialisation.

La peinture à l'huile est considérée en Occident comme la technique reine. De la Renaissance au XXe siècle, ce fut la première technique apprise et utilisée par les artistes. Aujourd'hui, la peinture acrylique est privilégiée par rapport à cette technique ancestrale. Raisons de cette évolution : la nocivité des diluants nécessaires à sa pratique, sa difficulté de mise en œuvre (utilisation de médiums à peindre, respect de la règle du « gras sur maigre ») alors que l'acrylique est dilué à l'eau.

Particularités[]

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La palette du peintre à l'huile

L'huile utilisée est généralement l'huile de lin ou l'huile d'œillette, voire l'huile de carthame ou de noix.

La peinture à l'huile est une technique lente à sécher (on dit siccativer), par opposition à la peinture acrylique ou à l'aquarelle, qui sont des techniques aqueuses. Cette particularité permet à l'artiste de prendre le temps de mélanger ses couleurs, de récupérer une erreur et de retravailler son motif pendant plusieurs jours jusqu'à obtenir le fondu, le modelé de la forme, la touche qu'il désire.

Ce que l'on appelle « séchage » est en réalité un phénomène de siccativation ou oxydation de l'huile, qui se polymérise et durcit, sans changer l'aspect de l'œuvre, et en quelque sorte, emprisonne les pigments et permet la conservation de la peinture[1].

Il est également possible d'obtenir des effets de matière ou de reliefs avec une pâte assez consistante. L'utilisation d'une spatule appelée aussi couteau permet d'obtenir du relief et d'augmenter ainsi la matière de l'œuvre.

Histoire[]

L’invention de la peinture à l’huile est attribuée au peintre flamand Jan van Eyck (1390-1441), mais le procédé consistant à mélanger les pigments dans l’huile était déjà connu de Theophilus au XIIIe siècle.

Il semblerait que cette technique soit bien plus ancienne : en 2008, on découvre les plus vieilles peintures à l’huile connues à ce jour dans les grottes afghanes de Bamiyan. Elles sont datées du VIIe siècle[2].

En réalité, l'avènement de la peinture à l'huile en Occident a été progressif. Il n'y a pas eu de révolution technique au sens strict mais une longue évolution. En effet les peintres du Moyen Âge utilisèrent beaucoup la tempera qu'ils recouvraient parfois d'une ultime couche huileuse en guise de protection. Au fil des générations, cette couche d'huile s'est progressivement chargée en pigment donnant ce que l'on peut qualifier de premier glacis. On retrouve d'ailleurs dans les tableaux des frères Van Eyck, sous d'innombrables couches de glacis cette sous-couche a tempera. Les panneaux destinés à être peints étaient imprégnés de plusieurs couches de colle et d’enduit, lorsque le bois était imparfait, ce qui était souvent le cas dans les pays du sud (Italie, Espagne) ; ils étaient préalablement marouflés d’une fine toile afin de limiter les effets de dilatation ou de rétraction du bois.

Le passage de la tempera à l'huile voit aussi celui du bois de la toile. Le bois avait pour inconvénient de limiter les dimensions des tableaux, d'une part à cause de la grandeur maximale qui pouvaient être atteinte avec des planches, d'autre part par le poids des œuvres.

C’est à partir du XVe siècle que l’utilisation de la toile montée sur châssis fait son apparition. On en trouve les premières utilisations sur des volets d'orgue à Venise. Ce sont d'ailleurs les Vénitiens qui diffuseront cette pratique en Italie dans le courant du XVIe siècle et en Flandres via Rubens. La toile, généralement de lin, doit être recouverte d’une couche d’enduit qui permet à la peinture de s’accrocher. La peinture à l'huile qui produit un film souple, convient parfaitement à ce support souple, qu'il est alors possible de rouler pour son transport.

Préparation[]

Graines de lin.

Jusqu'au XIXe siècle, les peintres, ou leurs élèves, broyaient eux-mêmes les pigments en poudre avec le liant et ils employaient aussitôt. Chacun développait sa technique, à base de différentes huiles, plus ou moins jaunissantes, utilisées crues ou cuites. Ainsi l'huile de lin, siccative et peu jaunissante, fut adoptée devant l'huile d'œillette et l'huile de noix, plus claires mais moins siccatives.

Au XIXe siècle sont apparues les premières couleurs industrielles, présentées dans des vessies de porc puis dans des tubes à partir de 1840. Aujourd'hui, la fabrication des couleurs à l'huile est principalement industrielle (Lefranc et Bourgeois, Sennelier, Winsor et Newton, Talens). Quelques fabricants ont gardé ou repris des manières traditionnelles afin de produire des couleurs plus proches de celles d'autrefois (Blockx, Old Holland, Isaro, Thomas Harding).

La technique est restée longtemps immuable : le peintre dessinait sa composition sur la toile ou sur le panneau de cuivre ou de bois préparé puis, après une éventuelle grisaille, montait son sujet avec les couleurs à l'huile, en couches minces, en donnant l'effet de lumière par le jeu des ombres et des reflets. Puis, une fois ces premières couches bien sèches, il la recouvrait de glacis teintés, transparents, qui harmonisait la coloration générale. Le tout formait une surface bien unie, comme une toile cirée.

La technique a ensuite évolué, dès la fin de la Renaissance, les peintres commençant à expérimenter la pâte afin d'accentuer les lumières en leur donnant par exemple plus d'épaisseur. Ce procédé devint général et de nouvelles techniques sont nées : peinture en pleine pâte, à la touche, par touches séparées, avec ou sans ébauche préparatoire. Les peintres baroques (Rubens, Van Dyck) puis rococo (Boucher, Fragonard) et les Romantiques (Delacroix, Géricault) ont su exploiter avec brio cette écriture enlevée qui s'oppose à une manière plus lisse et « léchée » de traiter le sujet (peinture néoclassique, style pompier). La peinture à l'huile a la particularité de permettre les deux approches, entre autres.

Les découvertes des physiciens du XIXe siècle, en particulier les théories de Eugene Chevreul, influencèrent des peintres comme Delacroix, puis, plus tard, les Impressionnistes. Elle donnèrent même naissance à un mouvement, le pointillisme ou Néo-Impresionnisme (Signac, Seurat) qui décompose chaque ton en tons primaires, comme celle de la lumière solaire par le prisme en spectre coloré. Le traditionnel procédé par couches superposées allait alors être remplacé par une technique plus spontanée et directe, dite alla prima - autrement dit peindre en une seule séance, sans séchage entre les couches. Ces courants et d'autres qui suivirent (fauvisme, expressionnisme) n'ont cessé d'explorer les limites de la peinture à l'huile.

Auxiliaires[

Les couleurs à l'huile sont composées de pigments qui forment la matière colorée et d'un liant (huile de lin purifiée ou d'œillette) qui les lie et les agglomère. Le diluant ou solvant de la peinture à l'huile est l'essence de térébenthine ou l'essence de pétrole (ou des équivalents modernes non allergènes).

On peut améliorer la consistance de la pâte par l'ajout de médiums à peindre, eux-mêmes fabriqués à partir du liant (huile) et de solvant (essence) auxquels on rajoute, éventuellement, pour améliorer la souplesse du film, une résine. Le médium rend la matière plus malléable et donc plus facile à étaler.

Les médiums à peindre permettent aussi de respecter la règle du « gras sur maigre » (propre à la peinture à l'huile) qui veut que chaque couche de couleur soit plus grasse que la précédente afin que l'accroche soit solide et durable. L'explication en est très simple : les couches maigres, qui mettent peu de temps à siccativer, entreraient en conflit avec les précédentes plus grasses et toujours en train de siccativer, provoquant un phénomène variant entre la peau d'orange et celle du reptile au cours de la mue... À éviter, selon les traditions. Dans les premières étapes, la pâte sera donc maigre, par adjonction d'essence et progressivement deviendra plus grasse, par ajout d'huile ou de médium.

L'œuvre sera finalement vernie grâce à un vernis à retoucher puis un vernis définitif.

Supports[]

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Toile montée sur châssis.

La peinture à l'huile a une action corrosive ou interagit chimiquement avec sur la plupart des supports (toile, bois, papier). C'est pourquoi une préparation de la surface est indispensable avant de peindre.

Il existe deux grands types de préparation pour la peinture à l'huile :

Aujourd'hui, les supports du commerce soit déjà enduits (préparation universelle ou synthétique) : on peut donc peindre directement.

Deux approches[]

La peinture d'atelier]

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Les Ménines
1656-1657 (318 x 276 cm)
Musée du Prado, Madrid.

Née des ateliers classiques et des grands formats tels qu'ils garnissent nos musées, la tradition reste la base référentielle de nombreux peintres. Les couches picturales du tableau sont nombreuses et exploitent les transparences de certains pigments, alliée à celle, plus évidente, des médiums. On les appelle « jus » (très peu de pigment et beaucoup de médium), « glacis » (très peu de pigment et beaucoup de médium corsé en résine), « vellatures » (très peu de pigment, beaucoup de médium corsé en résine et un petit peu de blanc). Par opposition à « pâte », « matière », « charge ». Cette tradition donne à la peinture à l'huile toute sa subtilité et sa profondeur. La lumière peut, si elle est bien construite sur un support savamment préparé, sortir du fond du tableau, du fait de la place qui lui aura été réservée tout au long de l'exécution.

La peinture en plein air ou « sur le motif »[]

Cours de peinture Paris
John Singer Sargent : Monet peignant à l'orée d'un bois, 1885

L'autre façon d'entreprendre l'huile est beaucoup plus récente et date de l'invention du tube par l'industrie de la peinture. Dès le début du XIXe siècle apparurent des vessies de porc destinées à contenir et à conserver les couleurs à l'huile. Les tubes d'étain ont été inventés vers 1840[3]. Ces nouveaux récipients étaient beaucoup plus pratiques que les vessies de porc et permettaient de conserver les couleurs intactes plus longtemps. C'est grâce aux tubes d'étain que les peintres impressionnistes ont pu sortir de leur atelier pour aller peindre leurs paysages « sur le motif », c'est-à-dire dans la nature.


Peinture à l'encaustique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La peinture à l'encaustique est une technique de peinture qui utilise des couleurs délayées dans de la cire fondue. Cette pâte est employée à chaud. On en trouve une description dans Pline l'Ancien.
À l'origine, l'encaustique est un produit à base de cire et d'essence (le mot vient du grec egkaein Εγκαeιv : faire brûler, graver au feu).

Historique[]

Cours de peinture Paris

La peinture à l'encaustique est un procédé qui semble avoir été mis au point par un peintre du IVe siècle av. J.-C. du nom de Lysippe ; celui-ci appose sur ses tableaux le mot enekaen.
On l'a aussi attribué au plus ancien peintre connu, à savoir Polygnote (490-426), d'autres à Aristide de Thèbes (IVe siècle) ou à Pausias (400-320) ; on parle de nombreux tableaux à l'encaustique réalisés par Pamphile d’Amphipolis sous le règne de Philippe II de Macédoine (360-336).
Il en est également fait mention dans Histoire Naturelle, Livre XXXV 2[1] de Pline l'Ancien.

Le procédé, dit « peinture à l'encaustique », consistait à mettre des pains de cire de différentes couleurs sur des plaques métalliques chauffées ; puis d'étaler cette cire prélevée sur l'une de ces plaques avec un pinceau. Cela servait à la fois à la décoration, mais probablement aussi à la protection.

Certains historiens ont envisagé l'hypothèse que la peinture à l'encaustique aurait pu exister dans le monde mycénien ; mais on considère que c'est peu probable. Actuellement, on pense qu'il conviendrait de situer son invention entre le Ve siècle et le VIe siècle et son application en peinture au IVe siècle.

À l'époque byzantine, le procédé à l'encaustique servit surtout à réaliser des icônes religieuses. Pour obtenir des contrastes de couleurs, on mélangeait les pigments avec la cire. On le retrouve jusqu'au VIIIe siècle, date à laquelle on l'a remplacé par le procédé de la détrempe.

Usage actuel[]

Aujourd'hui, un peintre tel que Philippe Cognée utilise cette technique de la façon suivante : il dispose au pinceau une peinture à l'encaustique, faite de cire d'abeille et de pigments de couleur, sur la toile, puis recouvre ensuite celle-ci d'un film plastique sur lequel un fer à repasser chauffe la cire pour la liquéfier, étalant et déformant les formes. Cela a pour effet de créer un enfouissement trouble du sujet dans la matière. Le film plastique lorsqu'il est décollé produit à certains endroits des manques dus à l'arrachage de la couche picturale. L'image semble alors piégée sous une surface glacée.


Peinture acrylique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La peinture acrylique est une technique picturale et un médium de peinture utilisant des pigments mélangés à des résines synthétiques.

Histoire[]

Les premières peintures synthétiques sont des nitro-celluloses à l'huile qui apparaissent au milieu des années 1930 à New York pour l'industrie automobile et le bâtiment (peintures utilisées par les peintres mexicains et Charles Pollock). Le second type de peinture, qui apparaît en 1927, comporte de l'alkyde pour le bâtiment (utilisée par De Kooning en particulier). Les polyvinyle-acétate seront introduits également dans les années 1930. La première marque commerciale Magma est développée par les imprimeurs américains Leonor Colour et Sam Golden, mise sur le marché en 1949. Cette peinture se dilue avec de l'essence de térébenthine, elle est utilisée par les peintres Rothko, de Kooning, Barnett Newman, Kenneth Noland ou Morris Louis.

La peinture acrylique pour artiste diluable à l'eau est créée en 1963 par la marque Liquitex du chimiste Henry Levinson et est immédiatement utilisée par les peintres Andy Warhol, David Hockney...[1].

Au Mexique elle a été inventée au milieu du XXe siècle vers 1950[2]. Des chimistes de l'Institut National Polytechnique de Mexico, en collaboration avec les maîtres peintres muralistes mexicains, l'on mis au point lors de la réalisation des fresques sur les façades de l'université de Mexico. Les écrits de David Alfaro Siqueiros (peintre-muraliste mexicain) : « L'art et la Révolution », racontent dans le détail la mise au point de cette technique picturale mise sur le marché en 1950.

Elle n'apparaît pas en Europe avant les années 1960 : Pierre Alechinsky la découvre à New York en 1965.

Composition[]

La peinture acrylique est constituée de deux éléments :

A cette pâte pourra ensuite être ajoutée une charge afin d'en augmenter le volume.

Caractéristiques[]

La principale qualité de la peinture acrylique est sa docilité : dilution à l'eau (sans excès), miscibilité, mélanges faciles à préparer, facilité d'application, polyvalence de supports, faible odeur. Elle a l'avantage de sécher très vite, ce qui permet de travailler plus rapidement les différentes couches mais aussi d'être très solide et indélébile.

Son principal inconvénient est sa rapidité de séchage (quelques minutes). Aujourd'hui, on peut trouver des acryliques à séchage ralenti (d'une heure à plusieurs jours). Elle se différencie ainsi de la peinture à l'huile, très lente à sécher mais qui permet les fondus et les repentirs.

La véritable limitation de l'acrylique est face à un corps gras. Ainsi on ne peut pas la mélanger ou la diluer avec de l'huile, ni de l'essence. Toutefois, selon la règle du gras sur maigre, il est possible de peindre à l'huile sur une couche d'acrylique. On peut ainsi commencer un tableau à l'acrylique et le continuer à l'huile (mais non l'inverse).

Certaines marques spécialisées dans le maquettisme utilisent des médiums à base d'alcool isopropyle (isopropanol) pour une utilisation avec pistolet ou aérographe.

Une peinture acrylique sèche macule irrémédiablement un support. On ne pourra la nettoyer qu'avec des solvants puissants. Il est assez simple de faire partir immédiatement l'acrylique de tissus avec de l'eau chaude et des savons végétaux de type savon de Marseille ou d'Alep.

L'acétone permet de nettoyer les ustensiles de peinture laissés même plusieurs jours en l'état, précaution prise avec certaines matières plastiques solubles à son contact.

Médiums et additifs[

Beaucoup d'effets sont possibles avec la peinture acrylique. D'où un grand éventail de médiums proposés par les fabricants.

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